Voici un sujet très personnel que celui de choyer sa santé mentale . L’idée a le vent en poupe et c’est tant mieux. Loin de nous l’idée de la galvauder. Notre mot d’ordre : soyez douces avec vous-mêmes !

Pour vous, pour tous

Notre postulat aujourd’hui est de dire que votre santé mentale, votre épanouissement personnel, votre estime de vous-mêmes importent. Oui, pour vous, avant tout. Mais aussi pour nous, en tant que communauté. Et pour tous, à l’échelle de l’humanité. 

Indulgence

En tant que femmes qui se bougent, vous avez sans aucun doute été confrontées à des obstacles sur votre chemin intra ou entrepreneurial qui suscitent de vives remises en question professionnelles et/ou personnelles, qui éveillent cette petite voix qui incite à tout lâcher. C’est à ce moment-là que nous vous encourageons à ne pas vous auto-flageller. Vous avez le droit d’avoir des jours sans, ils ne vous définissent pas ! On vous connaît, l’auto-critique va bon train. Un peu de douceur et de compassion avec votre juge le plus sévère, vous-mêmes !

Rayonnement

En effet, quand vous êtes bien dans votre peau et partagez un message positif, celui-ci résonne et contribue au bien commun. Soyez douces, clémentes, patientes avec vous-mêmes, vous êtes précieuses et plus vous faites attention à vous, plus cela rayonne autour de vous ! Nous ne parlons pas d’égocentrisme ici mais de faire attention à soi. Acceptez vos moments sans, il n’est pas question de se forcer à être positives non plus ! C’est fou que nous n’ayons pas de mot pour self-care en français mais de longues périphrases…

Energie

L’idée, c’est que plus vous allez bien, plus vous avez l’énergie de déplacer des montagnes, plus vous êtes gonflées à bloc, dans une énergie sereine. Certes, nous pouvons aussi redoubler d’énergie, énervées, mais il est préférable que celle-ci soit orientée vers la construction ! 

D’ailleurs, si le syndrome de l’imposteur vous guette et que vous vous demandez à quoi bon, rappelez-vous que sans les optimistes qui se sont un jour lancés des défis fous, il n’y aurait pas eu de grandes inventions, de récoltes que l’on attend des saisons entières ni de cathédrales érigées des siècles plus tard !